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Au Québec on protège maintenant la liberté d’expression
L’AQLPA est fière de rappeler que c’est grâce à la lutte qu’elle a initiée, menée et gagnée qu’aujourd’hui le Québec est la seule législature au Canada qui protège la liberté d’expression et la participation citoyenne aux débats publics contre l’intimidation et les poursuites abusives. Nous avons travaillé d’arrache-pied jusqu’à l’obtention de la Loi 9 ou Loi modifiant le Code de procédure civile pour prévenir l'utilisation abusive des tribunaux et favoriser le respect de la liberté d'expression et la participation des citoyens aux débats publics qui a permis à cinq occasions depuis 2009 de rejeter de telles tentatives de musellement.
Article rédigé dans le contexte de la récente décision de la Cour supérieure rejetant la poursuite en diffamation de 400 000$ de M. Savoie contre Pierrette Thériault-Martel.
Après les rencontres d'information à Mont-Carmel, L’Islet et Témiscouata-sur-le-Lac auxquelles plus de 500 personnes ont assisté, une autre rencontre est prévue ce jeudi 12 septembre 2013 à Deschambault-Grondines dans la région de Portneuf
Faire de la CCE un véritable chien de garde de l’environnement
L'AQLPA a rédigé le mémoire « FAIRE DE LA CCE UN VÉRITABLE CHIEN DE GARDE DE L’ENVIRONNEMENT » dans le cadre des 20 ans de l’Accord nord-américain de coopération dans le domaine de l’environnement (ANACDE). L'AQLPA constate que des progrès ont été enregistrés au cours des deux dernières décennies en matière d’harmonisation des législations environnementales en Amérique du Nord, mais qu’il y a encore beaucoup de chemin à parcourir. En ce sens, le mémoire met l’accent sur l’importance pour la Commission de coopération environnementale (CCE) de développer des mécanismes plus efficaces pour inciter le Canada, les États-Unis et le Mexique à rehausser leurs standards environnementaux.
L’AQLPA et Greenpeace joignent leurs voix afin d’exiger un moratoire complet sur le gaz et le pétrole de schiste. Pour les organisations, le Bureau d’audiences publiques sur l’environnement (BAPE) doit être mandaté pour évaluer les risques liés à la fracturation, que ce soit hydraulique, au gaz ou autre, et ce, autant pour l’exploration que l’exploitation du pétrole de schiste. « La prudence élémentaire exige que Québec mandate le BAPE pour qu’il fasse la lumière sur les nombreux risques reliés à la fracturation en Anticosti », souligne André Bélisle, président de l’AQLPA.
La stratégie de dénigrement des énergies vertes exige notre vigilance
Texte de réflexion d’André Bélisle, président de l’AQLPA - Il est clair pour moi qu'il y a présentement une stratégie de dénigrement envers le développement de toutes les énergies vertes, en premier lieu envers l'éolien mais aussi le biométhane. Je suis intervenu auprès des médias à quelques occasions dernièrement pour faire réaliser qu'on exagère sérieusement l'écart entre le prix du kilowatt/heure (kWh) éolien et de l'hydroélectricité, sans succès.