Actualités
Le gouvernement canadien fait la démonstration qu’il sert d’abord les intérêts des pétrolières et non ceux de ses citoyens!
Saint-Léon-de-Standon, le 12 décembre 2011. « L’AQLPA condamne fermement la trahison qu’est le retrait du Canada de l’accord de Kyoto et rappelle que le gouvernement Harper n'a pas la légitimité d'imposer un retrait de cet accord, souhaité par la grande majorité de la population. Rappelons que ce gouvernement n’a récolté que 38% des votes lors de la dernière élection. L’AQLPA appelle à la mobilisation de la société pour faire reculer le gouvernement! » déclare André Belisle, président de l’AQLPA.
Conférence de presse lors de la Conférence des Nations Unies sur le climat à Durban (COP17)
Durban, Afrique du sud, 9 décembre 2011 - Au dernier jour des pourparlers des Nations Unies sur le climat, un panel international a attiré l'attention sur l'impact climatique de la fracturation hydraulique. Citant de nouvelles études sur les émissions de méthane, les décideurs et les défenseurs de l'environnement des États-Unis, du Canada et de l'Allemagne ont souligné l'impact sur le climat de la nouvelle méthode controversée d’extraction du gaz.
Parce que le Canada n’est PAS à sa place, Nous invitons la population à occuper la Place du Canada !
Saint-Léon-de-Standon, le 8 décembre 2011 - Dans le but de signaler au gouvernement du Canada son opposition à l’abandon du protocole de Kyoto, un regroupement de nombreux partenaires organise un grand rassemblement à la Place du Canada à Montréal, le samedi 10 décembre 2011 à compter de 13h30. Les partenaires invitent la population à venir exprimer son appui au protocole et son désaccord face à l’attitude du gouvernement Harper.
GRAND RASSEMBLEMENT : KYOTO, POUR L’ESPOIR
GRAND RASSEMBLEMENT : KYOTO, POUR L’ESPOIR
Place du Canada (angle Peel / René-Lévesque, métro Peel)
Montréal, samedi 10 décembre 2011 à 13h30
Pour signaler au gouvernement du Canada l’opposition à l’abandon ou la réduction de ses engagements du protocole de Kyoto et sa suite.
Bien qu’il soit entaché par l’inaction du gouvernement canadien aux négociations des Nations Unies sur le climat.
Par Réseau Action Climat
Durban, Afrique du Sud, 5 décembre 2011 - Le financement accéléré (fast-start finance) annoncé aujourd'hui par le gouvernement canadien est une indication tardive de la part du Canada démontant qu’il reste engagé à offrir un financement rapide aux pays les plus pauvres pour soutenir leurs actions urgentes en matière de changements climatiques. En apparence, ce montant (1.2 milliard sur 3 ans, annoncé précédemment) est une suite logique de l’engagement du Canada pris à Copenhague et à Cancún pour soutenir l'action climatique dans les pays pauvres. Pourtant, cette annonce laisse plusieurs questions importantes sans réponse.