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Le 6 juin dernier, l’Équipe Kyoto dirigée par le professeur Daniel Turp et représentée par Me Julius Grey se présentait à la cour pour contester la légalité de la dénonciation par le gouvernement du Canada du protocole de Kyoto à la convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques.
Alors que nos gouvernant-e-s font preuve d’un manque flagrant de volonté d’agir à la Conférence des Nations Unies sur le développement durable (Rio+20), la société civile québécoise converge avec les peuples du monde pour proposer des solutions.
Les délégués autochtones et la société civile pointe le Canada du doigt comme étant le pire à Rio.
Alors que les jeunes et la société civile de partout à travers le monde ont posé une action pour faire monter la pression sur les leaders ici à Rio+20, simulant une plénière du peuple en occupant une partie de l’espace à la Conférence de Rio, le Canada a été identifié, parmi les plus grands pollueurs,
Rio +20 se voit décerner le plus important Fossile du jour de l'histoire pour le manque d'ambition du texte de Rio.
Les ONG et les représentants de la jeunesse dénoncent l'adoption d'un texte faible et appellent les dirigeants du monde entier à prendre action pour le renforcer.
Alors que tout indique que le Sommet de Rio+20 ne permettra pas les avancées requises pour régler les graves problèmes environnementaux actuels, un mince espoir réside dans l’abolition des subventions aux combustibles fossiles/nuisibles (pétrole, gaz, charbon) qui sont responsables de la majeure partie des émissions de gaz à effet de serre causant les changements climatiques.