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Après les rencontres d'information à Mont-Carmel, L’Islet et Témiscouata-sur-le-Lac auxquelles plus de 500 personnes ont assisté, une autre rencontre est prévue ce jeudi 12 septembre 2013 à Deschambault-Grondines dans la région de Portneuf
Faire de la CCE un véritable chien de garde de l’environnement
L'AQLPA a rédigé le mémoire « FAIRE DE LA CCE UN VÉRITABLE CHIEN DE GARDE DE L’ENVIRONNEMENT » dans le cadre des 20 ans de l’Accord nord-américain de coopération dans le domaine de l’environnement (ANACDE). L'AQLPA constate que des progrès ont été enregistrés au cours des deux dernières décennies en matière d’harmonisation des législations environnementales en Amérique du Nord, mais qu’il y a encore beaucoup de chemin à parcourir. En ce sens, le mémoire met l’accent sur l’importance pour la Commission de coopération environnementale (CCE) de développer des mécanismes plus efficaces pour inciter le Canada, les États-Unis et le Mexique à rehausser leurs standards environnementaux.
L’AQLPA et Greenpeace joignent leurs voix afin d’exiger un moratoire complet sur le gaz et le pétrole de schiste. Pour les organisations, le Bureau d’audiences publiques sur l’environnement (BAPE) doit être mandaté pour évaluer les risques liés à la fracturation, que ce soit hydraulique, au gaz ou autre, et ce, autant pour l’exploration que l’exploitation du pétrole de schiste. « La prudence élémentaire exige que Québec mandate le BAPE pour qu’il fasse la lumière sur les nombreux risques reliés à la fracturation en Anticosti », souligne André Bélisle, président de l’AQLPA.
La stratégie de dénigrement des énergies vertes exige notre vigilance
Texte de réflexion d’André Bélisle, président de l’AQLPA - Il est clair pour moi qu'il y a présentement une stratégie de dénigrement envers le développement de toutes les énergies vertes, en premier lieu envers l'éolien mais aussi le biométhane. Je suis intervenu auprès des médias à quelques occasions dernièrement pour faire réaliser qu'on exagère sérieusement l'écart entre le prix du kilowatt/heure (kWh) éolien et de l'hydroélectricité, sans succès.
À l'encontre des plans de développement
Le Bas-Saint-Laurent est l'une des régions québécoises les plus dynamiques en ce moment pour ce qui est du développement de la production d'énergie de source renouvelable. Les MRC bas-laurentiennes s'impliquent déjà financièrement dans des projets éoliens et de biométhanisation, en plus de développer de l'expertise dans la chauffe communautaire à partir de biomasse forestière disponible à même le milieu local ou régional. Il y a des projets d'énergie renouvelable dans plusieurs MRC et beaucoup de gens y croient et travaillent à leur réalisation.