Pollution atmosphérique
Leçons du scandale Volkswagen
Pour l’AQLPA, le scandale de la tricherie de Volkswagen montre à quelle bassesse peut mener la course immorale au profit quand la santé et la qualité de l’environnement sont considérées des points de détail d’une activité polluante. Il est révélateur aussi de l’atteinte d’une limite technologique quant à la possibilité d’une diminution des émissions de contaminants atmosphériques pour les moteurs diesel tout en maintenant des performances élevées. On parle ici d’émissions d’oxydes d’azote, un contaminant toxique pour la santé, également précurseur de l’ozone au sol, du smog et des pluies acides.
Chauffage au bois à Montréal : l’AQLPA félicite la Ville pour son projet de règlement
L’AQLPA félicite la ville de Montréal pour son projet de règlement qui autorisera dorénavant l’utilisation d’un combustible solide, notamment le bois, et soumettra les nouveaux appareils de chauffage à une nouvelle norme d’émission de particules, à 2,5gr/h. Celle-ci est ambitieuse et n’existe encore nulle part au Canada. Cette nouvelle règlementation qui devrait contribuer à diminuer de plus de 90% les émissions de particules fines produites par ces appareils, est un ajustement responsable qui tient compte des besoins de la population tout en protégeant la qualité de l’air et la santé des gens.
Mémoire sur les poêles à bois (Montréal)
Mémoire AQLPA présenté à la Commission sur l’eau, l’environnement, le développement durable et les grands parcs (Montréal), décembre 2014
Deux ans plus tard, soirée d'information sur les poussières toxiques provenant du Port de Québec
Deux ans plus tard, où en sommes-nous avec les poussières toxiques? Soirée d'information organisée par le député Raymond Côté. Présentations de Véronique Lalande (Vigilance Port de Québec) et André Bélisle (AQLPA).
Le NPD dépose un projet de loi pour la transparence des installations portuaires
Le député néo-démocrate Raymond Côté a présenté aujourd’hui un projet de loi soumettant les installations portuaires canadiennes au regard du Vérificateur général du Canada et du Commissaire à l’environnement et au développement durable.
La pollution de l’air est désormais le principal risque environnemental pour la santé dans le monde
Maintenant que la pollution de l’air est reconnue par l’OMS comme le principal risque environnemental pour la santé dans le monde, plus rien ne justifie l’inaction. «Il faut maintenant de la volonté politique, que des belles paroles nous passions aux actes. L’heure est à la responsabilité en matière d’environnement et les élu.e.s doivent comprendre qu’en matière de lutte contre la pollution atmosphérique, tous les gestes comptent» de conclure André Bélisle.
L'AQLPA et l'Association des médecins spécialistes en santé communautaire adressent une lettre au ministre de la Santé
À l’automne 2013, l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) annonçait que, sur la base des données scientifiques analysées par ses experts mondiaux, elle classait dorénavant la pollution de l’air extérieur comme cancérogène pour l’humain. En février dernier, l’AQLPA et l’Association des médecins spécialistes en santé communautaire du Québec (AMSSCQ) ont adressé une lettre au ministre de la Santé et des Services sociaux, Réjean Hébert, l’invitant à demander un avis officiel de l’Institut national de santé publique (INSPQ) concernant l’estimation de l’impact de la pollution de l’air en tant que cancérigène sur la population du Québec.
Agrile du Frêne : des centaines de milliers d’arbres en moins à Montréal
L’AQLPA s’inquiète de l’impact sur la qualité de l’air qu’aura la perte de dizaines de milliers d’arbres à Montréal. L’agrile du frêne pourrait forcer, d’ici 10 ou même 5 ans, l’abatage de plus de 200 000 frênes sur le territoire de la Ville de Montréal. Ces arbres jouent plusieurs rôles essentiels. En plus d’endiguer de façon importante le phénomène d’ilot de chaleur, ils constituent un important filtre des polluants émis en ville, notamment par les transports.
Augmentation plus qu’inquiétante des GES en 2010 au Canada
L'AQLPA est extrêmement préoccupée de voir que les émissions de gaz à effet de serre ont augmenté au Canada entre 2009 et 2010 alors qu’il est impératif qu’elles diminuent drastiquement.