Fin de la filière des petites centrales hydroélectriques
Saint-Léon-de-Standon, 5 février 2013 – L’Association québécoise de lutte contre la pollution atmosphérique (AQLPA) et Greenpeace félicitent la ministre Martine Ouellet pour sa décision de mettre fin aux projets de petites centrales hydroélectriques. Cependant, elles invitent Québec à faire preuve de cohérence en abandonnant également le projet de centrale à Val-Jalbert.
« Nous encourageons le gouvernement du Québec à entreprendre résolument le virage vers les énergies vertes comme l'éolien, le solaire et le biométhane. Nous souhaitons vivement participer à une nouvelle consultation publique afin d'établir une politique énergétique respectueuse de l’environnement, socialement acceptée et cohérente avec nos engagements de réduction des gaz à effet de serre ainsi que de consommation des combustibles fossiles » affirme André Bélisle président de l'AQLPA.
« L’abandon des projets de mini-centrales démontre le non-sens d’aller de l’avant avec l’harnachement de la rivière à Val-Jalbert. Québec doit se doter d’une nouvelle politique énergétique fondée sur l’efficacité énergétique et l’économie d’énergie et non pas sur des projets comme Val-Jalbert qui détruisent les écosystèmes. D’autant plus que rien ne justifie ce projet » a déclaré Patrick Bonin responsable de la campagne climat-énergie à Greenpeace
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SOURCE
Association québécoise de lutte contre la pollution atmosphérique
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CONTACTS
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T 418 642-1322 poste 223 / C 418 386-6992 / andre.belisle@aqlpa.com
Patrick Bonin, responsable campagne climat-énergie, Greenpeace
C 514 594-1221 / pbonin@greenpeace.org